Diplomatie antifrançaise

Publié le par Nectaire Tempion

Rappel : la République, c’est l’anti-France.


La rue arabe n’est qu’un leurre : au bout du Quai, le Kremlin barre le passage.

Mais, au-dessus du Quai, il y a l’Elysée. Le citoyen Chirac était resté dans la norme. Pendant que son sous-fifre Villepin se rendait intéressant, il avait, gaullistement, laissé tomber Saddam, qu’on retrouva au fond d’un trou, et conféré, non moins gaullistement, la grand-croix de la Légion d’honneur à « l’ami Poutine ».

A l’instar de François Mitterrand, mais il est déplacé de s’en apercevoir, l’usurpateur en exercice n’est pas viscéralement américanophobe. Comme lui, il est fluctuant, quoique beaucoup plus agité, et moins insaisissable.

 

 

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