Le concombre assassin
Ça me rappelle une vieille bande dessinée.
Le blogue de Nectaire Tempion
Elle aura lieu. La parole est au poète new-yorkais. Mais ce ne sera qu’un point de détail dans la guerre des boutons de culotte.
Un connaisseur vient d’acquérir un diamant sublime. Combien ? C’est l’affaire de son porte-monnaie. Qui ? Je ne le dirai pas, pour ne pas attirer sur lui la bave des envieux.
Pour le pouvoir. Et pourquoi le pouvoir ? Pas seulement pour le plaisir, pourtant des plus jouissifs, d’opprimer son prochain ; c’est, de très loin, ce qui rapporte le plus de fric.
A votre bon cœur, citoyennes, citoyens ! L’Etat peut payer. A cette fin, il ratisse les poches des contribuables. Pourquoi déguiser une postemption en souscription publique ? Pour lui donner une apparence de popularité.
Le président serbe a promis, si…, de livrer au Tribunal Pénal International pour la Yougoslavie un général serbe, qui passe pour un héros parmi les Serbes, et pour un Serbe performant au sein du genre humain. Comme si Staline avait promis, dès que Lyssenko...
Un ministre dont le nom rime à étron est dans la… Deux personnes du sexe, qu’il aurait distinguées puis licenciées, le harcèlent judiciairement. Mais, en France, ça ne dépassera pas le niveau d’une saine gauloiserie.
Ce nouveau riche, ancien ministre de Tonton, déchaîne l’envie la plus abjecte. Ce n’est pas en tant que nouveau qu’il rend fou les jaloux les plus bas, mais en tant que riche.
Il est de règle à l’école maternelle de ne pas frapper les plus petits.
Le fameux droit de cuissage, prélevé à l’occasion du mariage, était une taxe. Payable en espèces, pas en nature.