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On appelait Grand Pensionnaire, dans la République des Provinces-unies, le dignitaire qui percevait les émoluments les plus élevés.
Le blogue de Nectaire Tempion
On appelait Grand Pensionnaire, dans la République des Provinces-unies, le dignitaire qui percevait les émoluments les plus élevés.
Si l’on en croit Hegel, la classe universelle, planant au-dessus des intérêts particuliers, poursuivrait l’intérêt général : elle serait en charge du tout. Qui remplirait cette tâche ? Je vous le donne en mille : les fonctionnaires y auraient succédé...
On se battait beaucoup avant quatorze, même dans les milieux républicains. De nos jours, les gens n’ont plus d’honneur, donc plus besoin de le laver.
C’est Kif-kif, et je n’ajoute pas « bourricot » pour ne pas faire injure aux ânes, qui sont de bien braves bêtes, fort injustement discriminées. Machin et Chamin : à mettre dans le même sac-poubelle. Abstenez-vous !
Quand on entend flétrir la haine, on dit « racisme » : quand on veut l’exalter, on dit « laïcité »".
Le 16 juin 1940, un militaire d’antichambre ministérielle perdit le strapontin de sous-secrétaire d’Etat qu’il avait brièvement occupé. C’était le colonel d’infanterie, breveté d’état-major, Charles de Gaulle.
S’étant couché ivre à ne plus voir clair, le juge Ti se réveilla, avec une GDB pas racontable, dans le lit d’une putain dotée d’un cul presque aussi vaste que la miséricorde d’Allah. Néanmoins, son esprit déductif reprit rapidement le dessus : - M…, dit-il,...
Il y a longtemps, lors d’un vernissage, je me suis trouvé nez à nez avec un ancien premier ministre. Il m’a tendu la main, je la lui ai serrée. Depuis lors, je répugne aux mondanités.
Sous n’importe quel prétexte, sous n’importe quel masque, on ne parle jamais, en définitive, que de soi.