10 août
Triste journée.
Le blogue de Nectaire Tempion
« …je donnerais volontiers ma vie pour l’Angleterre, si cela me paraissait indispensable. Mais personne n’est patriote devant l’impôt » Orwell, Journal, 9 août 1940.
Les proxénètes sont des voyous. Le président de la Ripoublique est le julot casse-croûte de la femme sans tête. C’est le numéro un des maquereaux.
Je suis l’égal de mon supérieur mais mon inférieur n’est pas mon égal.
Ces combattants de la vingt-cinquième heure sont apparus après le retrait de l’armée soviétique. Ces impies tuent des gens du Livre. Plaise au Très-Haut que les musulmans, les vrais, les héritiers spirituels du commandant Massoud, les empalent jusqu’au...
Tous deux sont liés à la naissance. Sous l’empire du jus soli, vous êtes ressortissant de l’Etat A si madame votre mère a été accouchée en deçà de la frontière, et de l’Etat B, si cela s’est passé au-delà de la frontière entre A et B. Il est difficile...
Certains individus sont carrément indésirables : par exemple, le braqueur maladroit, ou émotif, qui oublie une rafale de mitraillette dans le ventre de la petite vieille venue retirer des sous à la banque. Non content de porter atteinte à la réputation...
Les libertés furent abolies. Mais le monopole des pharmaciens fut rapidement rétabli.